Avant de s'établir en Provence, André-Louis Rouquier a mené une existence voyageuse, qui passant par les Antilles, le Maroc et le Japon, pour ne parler que de ses points d'attache, l'a conduit des Lieux communs à La nuit de l'oubli.
Sur ce Sentier de la guerre, il a consacré le plus Clair du temps à repousser Les frontières naturelles. Mais que d'Angles vifs ! Que de Mauvais jeux ! Le cinquième soleil se lèvera-t-il jamais ?
Malgré le sourire d'Awa, belle inconnue sacrifiée, toujours cette vieille Peur du noir : le totalitarisme sous toutes ses formes, y compris le racisme et le machisme.
Après ce long parcours, André-Louis Rouquier, provisoirement fatigué, s'est fait remplacer par André Sandral, son jumeau hétérozygote. Celui-ci s'avère à ce point différent, voire contradictoire, qu'il ne peut être que génétiquement complémentaire. C'est lui qui, très prochainement, après avoir méchamment bouffonné dans des Vers sarkophages exécutera La descente de l'arbre, avec filet de sécurité.
> IUFM d´Aix-en-Povence • 1991-1992
> École Normale d´Aix-en-Provence • 1977-1991
> Lycée Saint Charles de Marseille • 1973-1977
> Athénée française de Tokyo (Japon) • 1971-1973
> Ecole Normale Supérieure de Rabat (Maroc) • 1967-1971
> Lycée Moulay Idriss de Fès (Maroc) • 1963-1967
> Lycée Jules Ferry de Versailles • 1961-1963
> Lycée Marcel Roby de Saint Germain-en-Laye • 1960-1961
> Lycée Schœlcher de Fort-de-France (Martinique) • 1957-1960
> Agrégation de Lettres Modernes
> Ecole Normale Supérieure de Saint Cloud
André Sandral
Dans
son jeune âge, André Sandral a beaucoup pratiqué le dessin puis la
peinture. Il ne s'est attelé à la poésie que faute de pouvoir travailler
dans des internats successifs. En effet, on peut toujours écrire,
n'importe où, même pendant les heures de cours.
Docilement devenu fonctionnaire, il s'est longtemps considéré comme un artiste victime d'un déni organisé. Puis, les mots ont pris le dessus, il a tourné le dos aux arts plastiques, ne laissant, dans ce domaine, que quelques réalisations très influencées par le Fauvisme, celles d'un débutant, sans intérêt qu'illustratif de ses états d'âme entre dix-huit et vingt ans.
Dès lors, il s'est escrimé, dans son coin, à une poésie très libre, simple et directe, rassemblée dans Le royaume des évidences et Chansons sans tambour ni musique. Sachant cette activité très éloignée de l'humeur des poètes répertoriés, il n'a pas jugé utile de publier, fût-ce à compte d'auteur. Il se peut que le Net soit un meilleur support pour se faire quelques complices.
Docilement devenu fonctionnaire, il s'est longtemps considéré comme un artiste victime d'un déni organisé. Puis, les mots ont pris le dessus, il a tourné le dos aux arts plastiques, ne laissant, dans ce domaine, que quelques réalisations très influencées par le Fauvisme, celles d'un débutant, sans intérêt qu'illustratif de ses états d'âme entre dix-huit et vingt ans.
Dès lors, il s'est escrimé, dans son coin, à une poésie très libre, simple et directe, rassemblée dans Le royaume des évidences et Chansons sans tambour ni musique. Sachant cette activité très éloignée de l'humeur des poètes répertoriés, il n'a pas jugé utile de publier, fût-ce à compte d'auteur. Il se peut que le Net soit un meilleur support pour se faire quelques complices.
– Vers Sarkophages, poèmes satiriques mis sur le Net en mars 2012
– La descente de l'arbre, roman, aux éditions L´Harmattan, mai 2012.
– Chroniques fœtales, roman, aux éditions L´Harmattan, septembre 2012.